Parfois,
il faut juste se lancer, porté par l’envie d’écrire quelque chose et soutenu
par quelques règles bien utiles (qui sont là, il faut le rappeler, pour nous aider à reconnaître les territoires
parcourus des territoires à parcourir et en faire la traversée), par exemple, ce serait une seule phrase
d’une centaine de mots qui raconterait une aventure anodine : aujourd’hui c’était
facile puisque je n’avais pas d’idées, j’ai donc choisi d’écrire sur l’écriture
et de commencer en ne m’arrêtant qu’au centième mot, voilà… bon il n’y en a que
quatre-vingt-cinq, mais voilà qui devrait faire l’affaire… merde, putain !
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