Rien ne peut apaiser l’angoisse du lundi
matin. Pas la routine qui échoue à rendre les jours semblables les uns aux
autres. Pas ton souffle régulier qui rythme la danse de mes doigts sur le clavier.
Pas l’obscurité qui se dissout lentement. Pas le café dont la chaleur réveille
mais l’odeur endort. Pas même écrire ce petit billet.
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