des bruits de pas dans le batiment,
va et vient de bruits qui courent, qui frottent et puis les voix, ça bruisse et
ça s’élance le long d’un unique couloir qui s'étend dans toute les dimensions de l'espace ; des numéros jalonnent le parcours de chacun, et la foule
si compacte, divisée en ceux qui vont et qui viennent, se dissout par ci par là
au gré de ces numéros, les couloirs se vident, le bruit se tait et il ne reste que moi : perdu, à la recherche de
ma salle
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