Son nom de scène était Géraldine
Leblanquet. Des petits seins, des hanches larges et des cuisses un peu grasses
qu’elle essayait maladroitement de mettre en valeur avec un porte jarretelles et des résilles.
La pauvre n’avait pas le temps de lire la presse féminine, trop occupée par
son travail, son enfant et son couple. Avec son mari, ils prenaient plaisir à
faire l’amour, une fois de temps en temps, quand les aléas de la journée leur
laissaient un peu de répit le soir pour se retrouver sous la couette. Ils
faisaient l’amour une ou deux fois puis ils discutaient un peu et riaient avant
de s’endormir chacun dans sa position préférée. Son nom toppait le sommet des recherches
depuis des mois.
*