Lorsqu'il prenait le ballon plus personne ne pouvait l'arrêter. La balle suivait ses mouvements comme un cobra ceux d'un charmeur de serpent, crochets, râteaux, passements de jambe ; il franchissait comme ça un, deux, trois joueurs comme Ronaldo dans ses jours fastes à l'Inter. Seulement ce n'était que Gérald de la compta, attaquant autoproclamé, qui ne faisait jamais une passe et saoulait ses collègues de bureau.
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